Mon syndrome de l'imposteur a le syndrome de l'imposteur

Bien que lié à l'acte d'écrire, l'acte de publier, c'est-à-dire de rendre public, est en lui-même porteur d'envies particulières. Alors, pourquoi rend-on nos œuvres publiques ? « pour qu'elles soient lues » direz-vous malicieusement. Mais par qui ? Par combien ? Pourquoi ?

Mon syndrome de l'imposteur a le syndrome de l'imposteur

Pourquoi écrit-on ?

La plupart du temps, les réponses à cette question, qui a la simplicité des questions profondes, portent sur l'acte d'écrire et le plaisir qu'on en tire. Parfois, elles convergent plutôt vers un point tout aussi concis : on écrirait, à l'évidence, pour être lu(e). C'est trivial, diront les esprits les plus affectés par le spectre des mathématiques.

Une réponse selon cet axe revient en fait à transformer la question « pourquoi écrit-on ? » en « pourquoi publie-t-on ? », ce qui n'est pas exactement la même chose. Bien que lié à l'acte d'écrire, l'acte de publier, c'est-à-dire de rendre public, est en lui-même porteur d'envies particulières. Alors, pourquoi rend-on nos œuvres publiques ? « pour qu'elles soient lues » direz-vous malicieusement. Mais par qui ? Par combien ? Pourquoi ?

Cela commence à faire beaucoup de questions, bienvenue dans mon cerveau.

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